ÉTUDES PHILOSOPHIQUES SPIRITES

Claude Monet

"CHAQUE PHASE DE L´ÉVOLUTION HUMAINE S'ACHÈVE PAR UNE SYNTHÈSE CONCEPTUELLE DES TOUTES SES RÉALISATIONS" (LÉON DENIS / J.H. PIRES).

Base structurelle du projet « ÉTUDES PHILOSOPHIQUES SPIRITES » (EFE-Conception, 2001) : SEE BELOW

quinta-feira, 24 de dezembro de 2015

Paix et immortalité




Aux quatre coins de la planète, la paix est proclamée comme la plus grande aspiration des peuples. Pourtant, malgré les efforts déployés par ceux qui ont consacré et qui consacrent encore leurs vies à déconstruire les préjugés édifiés et exacerbés par l’individualisme féroce qui se propage de toute part comme une épidémie, fruit du matérialisme et de l’absence de croyance en Dieu et en son fils bien-aimé Jésus-Christ, ainsi qu’en ses envoyés qui ont annoncé que l’Amour est le plus grand objectif de l’humanité, les êtres humains se débattent dans les guerres fratricides, la destruction des cultures millénaires, les maladies hautement contagieuses et mal traitées par les organismes chargés de la préservation de la vie et du bienêtre des populations africaines qui sans les héroïques bénévoles des Médecins sans Frontières seraient livrés à une mort lente et dégradante. Les organismes non gouvernementaux qui luttent pour préserver la faune et la flore de la planète, de même que ceux qui s’occupent des enfants abandonnés, des vieillards délaissés par leur famille et privés de soins médicaux, ceux qui accueillent les toxicomanes plongés dans l’inconscience de leurs vies perdues, sont aujourd’hui  les nouveaux apôtres de Jésus qui se propagent sur la terre comme de petites lumières qui s’allument au contact de la douleur et de la souffrance des autres. 

La paix si désirée à laquelle tant aspirent ne pourra jamais voir le jour si l’être humain ne voit pas l’autre être humain comme son semblable, comme son frère, comme le voulait Jésus. La haine d’un homme contre un autre qui le mène à la barbarie, à l’extermination de populations entières, à la violence contre la femme et l’enfant, démontre le degré de notre indifférence: nous jouons avec la vie comme si elle ne représentait rien.  

 Il ne suffit pas de savoir que nous sommes immortels. Cette idée pourrait engendrer un sentiment d’arrogance pathologique chez les âmes dépourvues d’éthique et de morale. La planète est malade, a dit la mère désespérée de cet enfant tué par un terroriste qui se dit musulman. Oui, la planète est malade, pourtant, nous gardons encore l’espoir devant cette boîte de Pandore qui continue de lancer ses malheurs sur le monde.

Jésus de Nazareth nous assure qu’il est à la tête de cette nef sans gouvernail. Et là, de l’Immortalité, parmi les Immortels, Il surgit toujours dans tous les cœurs qui souffrent à cause des déséquilibres et de l’indifférence de l’autre, comme une voix qui dit sans cesse: Je suis ici, que votre cœur ne se trouble point, croyez en Dieu et croyez aussi en moi... Faisons notre part.  

Sonia Theodoro da Silva - Diplômée en philosophie
 Journal d´études psychologiques  -  Année VIII  l  38e Édition

Sophie Giusti  - Traduction en français; Irène Gootjes - Traduction en français

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