HE IS AMONG US.. HE HAD NEVER LEFT US ALONE... AND AGAIN WE REMEMBER HIM, HIS FRIENDSHIP, HIS LOVE, HIS SACRIFICE... WE HONOUR HIM SINCE NOW AND FOREVER.. JESUS, STAY IN OUR HEARTS, IN OUR ACTIONS, IN OUR LIFE !
ÉTUDES PHILOSOPHIQUES SPIRITES
Claude Monet
"CHAQUE PHASE DE L´ÉVOLUTION HUMAINE S'ACHÈVE PAR UNE SYNTHÈSE CONCEPTUELLE DES TOUTES SES RÉALISATIONS" (LÉON DENIS / J.H. PIRES).
"CHAQUE PHASE DE L´ÉVOLUTION HUMAINE S'ACHÈVE PAR UNE SYNTHÈSE CONCEPTUELLE DES TOUTES SES RÉALISATIONS" (LÉON DENIS / J.H. PIRES).
Base structurelle du projet « ÉTUDES PHILOSOPHIQUES SPIRITES » (EFE-Conception, 2001) : SEE BELOW
sábado, 21 de dezembro de 2013
FELIZ NATAL !! MERRY CHRISTIMAS!!!
HE IS AMONG US.. HE HAD NEVER LEFT US ALONE... AND AGAIN WE REMEMBER HIM, HIS FRIENDSHIP, HIS LOVE, HIS SACRIFICE... WE HONOUR HIM SINCE NOW AND FOREVER.. JESUS, STAY IN OUR HEARTS, IN OUR ACTIONS, IN OUR LIFE !
domingo, 7 de julho de 2013
Conférence - Le Suicide et après
Conférencier :Michel Buffet, Président du Conseil Sirite Français
1) Le `Suicide', sujet très douloureux et conséquent d'après les statistiques européennes.
2) Ce sujet fait partie de la campagne de prévention lancée cette année par le MSF
3) Comprendre le processus suicidaire et la Vision spirite, au-delà de la mort physique.
(http://www.youtube.com/watch?v=kt3LDFiRjRk)
JOIE DE VIVRE
Victoria Butchard Gardens |
L’actualité n’est pas propice à nous laisser croire en l’optimisme au vu des défis que le monde nous présente. Considérer la vie unique-ment par ses bons côtés revien-drait à ramener l’Utopie de Thomas More dans notre vie quoti-dienne: une douce chimère puisque le rêve de civilisation de cet auteur n’était qu’un néolo-gisme pour définir des objectifs inatteignables.
Il ne serait pas raisonnable de nous donner une telle vision du monde puisque les drames grands et petits qui se succèdent permettent que nous ayons les deux pieds bien solide-ment ancrés.
Si dans les Amériques, la religion formelle est encore une alternative de consolation (ou serait-ce une fugue?) pour une grande partie de leurs habitants, en Europe et en Asie l’existentialisme athée ouvre des brèches dangereuses dans les pensées en créant des obstacles à la spiritualisation. Le Moyen-Orient avec ses guerres permanentes et l’Afrique avec ses conflits ethniques démontrent de manière douloureuse ce qu’est une planète d’épreuves et d’expiation dans ses degrés infinis de manifes-tation, comme le démontrèrent les Esprits à Allan Kardec.
Si l’on admettait la réincarnation comme une loi biologique et comme un principe de la raison, mais jamais fidéiste, puisque croire veut dire raisonner sur des bases sûres de compréhension au-delà des recherches (telles que celles réalisées par les pionniers Hernani G. Andrade au Brésil, Ian Stevenson aux EUA, H. Banerjee en Inde), nous aboutirions à la conclusion que ce n’est pas « l’histoire qui se répète », mais que c’est nous qui répétons l’his-toire à travers les réincarnations successives lors desquelles l’apprentissage intellectuel et moral ne s’est pas fait (ou bien a stagné). Cela changerait les paradigmes actuels et nous mènerait vers une nouvelle société, plus juste et plus fratenelle.
Quelqu’un a déjà dit que l’humanité actuelle, prisonnière de l’utilitarisme, refuse de grandir, et reste dans la phase de l’adolescence. Sans aucun doute, les manifestations comportementales manifestent une telle idée; il suffit d’observer cette «sédentarité intellectuelle» dans laquelle tout le monde recherche le plaisir dans la consommation effrénée et l’immédiat.
Pourtant, l’optimisme est un état d’âme permanent qui engendre la joie de vivre. Il suffit de reconnaître qu’il repose sur les petites et sur les grandes choses: regarder l’autre avec compassion, reconnaître que la condition humaine est une belle représentation de la divinité latente en nous tous. Mais aussi dans les choses simples: observer la nature, ac-compagner la croissance d’un enfant, reconnaître le miracle de la vie dans une gestation, accompagner le battement de son propre coeur que nous maintient en vie, poser les yeux sur les rides que le vent forme sur les eaux d’un fleuve, s’étirer, lire un bon livre, bavarder, sourire, consacrer sa vie à une bonne cause…
Par conséquent vivre d’une manière optimiste ne veut pas dire attendre indéfiniment que ça aille mieux, mais c’est comprendre que nous sommes les agents de ce processus pour tout ce qui nous entoure Vivre est pour tous, mais vivre bien et bien vivre est pour les sages qui apprennent que l’opportunité de la réincarnation est unique. Les anciens philosophes le savaient. Ceux d’aujourd’hui doi-vent réapprendre avec eux, et le spiritisme nous assure que si nous sommes aujourd’hui retenus par de graves engagements, rien n’empêche que nous en fassions un moyen indispensable à notre propre joie, celle de Vivre.
Sonia Theodoro da Silva, São Paulo, SP - Brèsil
Rédactrice
http://philospiriteravissementetcheminement.blogspot.com
Il ne serait pas raisonnable de nous donner une telle vision du monde puisque les drames grands et petits qui se succèdent permettent que nous ayons les deux pieds bien solide-ment ancrés.
Si dans les Amériques, la religion formelle est encore une alternative de consolation (ou serait-ce une fugue?) pour une grande partie de leurs habitants, en Europe et en Asie l’existentialisme athée ouvre des brèches dangereuses dans les pensées en créant des obstacles à la spiritualisation. Le Moyen-Orient avec ses guerres permanentes et l’Afrique avec ses conflits ethniques démontrent de manière douloureuse ce qu’est une planète d’épreuves et d’expiation dans ses degrés infinis de manifes-tation, comme le démontrèrent les Esprits à Allan Kardec.
Si l’on admettait la réincarnation comme une loi biologique et comme un principe de la raison, mais jamais fidéiste, puisque croire veut dire raisonner sur des bases sûres de compréhension au-delà des recherches (telles que celles réalisées par les pionniers Hernani G. Andrade au Brésil, Ian Stevenson aux EUA, H. Banerjee en Inde), nous aboutirions à la conclusion que ce n’est pas « l’histoire qui se répète », mais que c’est nous qui répétons l’his-toire à travers les réincarnations successives lors desquelles l’apprentissage intellectuel et moral ne s’est pas fait (ou bien a stagné). Cela changerait les paradigmes actuels et nous mènerait vers une nouvelle société, plus juste et plus fratenelle.
Quelqu’un a déjà dit que l’humanité actuelle, prisonnière de l’utilitarisme, refuse de grandir, et reste dans la phase de l’adolescence. Sans aucun doute, les manifestations comportementales manifestent une telle idée; il suffit d’observer cette «sédentarité intellectuelle» dans laquelle tout le monde recherche le plaisir dans la consommation effrénée et l’immédiat.
Pourtant, l’optimisme est un état d’âme permanent qui engendre la joie de vivre. Il suffit de reconnaître qu’il repose sur les petites et sur les grandes choses: regarder l’autre avec compassion, reconnaître que la condition humaine est une belle représentation de la divinité latente en nous tous. Mais aussi dans les choses simples: observer la nature, ac-compagner la croissance d’un enfant, reconnaître le miracle de la vie dans une gestation, accompagner le battement de son propre coeur que nous maintient en vie, poser les yeux sur les rides que le vent forme sur les eaux d’un fleuve, s’étirer, lire un bon livre, bavarder, sourire, consacrer sa vie à une bonne cause…
Par conséquent vivre d’une manière optimiste ne veut pas dire attendre indéfiniment que ça aille mieux, mais c’est comprendre que nous sommes les agents de ce processus pour tout ce qui nous entoure Vivre est pour tous, mais vivre bien et bien vivre est pour les sages qui apprennent que l’opportunité de la réincarnation est unique. Les anciens philosophes le savaient. Ceux d’aujourd’hui doi-vent réapprendre avec eux, et le spiritisme nous assure que si nous sommes aujourd’hui retenus par de graves engagements, rien n’empêche que nous en fassions un moyen indispensable à notre propre joie, celle de Vivre.
Sonia Theodoro da Silva, São Paulo, SP - Brèsil
Rédactrice
http://philospiriteravissementetcheminement.blogspot.com
quarta-feira, 23 de janeiro de 2013
Rêves physiologiques, psychologiques et spirituels
La cause des rêves et leur signification ont toujours été un motif de curiosité et de préoccupation. Dans le Livre des Médiums, Allan Kardec affirme que la science de son temps n’a jamais expliqué l’origine de tels phénomènes. Les explications actuelles, encore incomplètes qui ne tiennent compte que des raisons physiologiques - maladies, troubles psychiques, conditions de vie professionnelle et économique, influences relatives aux coutumes de la modernité, telles que l’utilisation de drogues licites et illicites, la sexualité en tant qu’article jetable, les anxiétés et le stress engendrés par tout cela, en plus des conditions politiques mondiales qui créent des expectatives en ce qui concerne notre avenir – sont réellement à l’origine de symptômes les plus divers qui se reflètent sur la qualité du sommeil.
Pourtant, la science s’entête à ignorer les raisons spirituelles – ces expériences frappantes ayant un lien avec des vies antérieures qui interfèrent dans les rapports et les comportements de l’existence actuelle, l'influence des pensées et des émotions des désincarnés sur les individus, qu’ils soient ou non liés directement à leurs actes du passé, outre les conflits d’ordre interne relatif à leur propre héritage génétique.
Avec le Livre des Esprits, questions 400 à 412, nous déduisons : nous sommes les héritiers de nous-mêmes, c’est-à-dire que notre histoire se répète parce que nous nous entêtons à jouer les mêmes personnages. Le moment actuel est celui de la réflexion et des changements dans la manière d'agir et de penser et de développer, sans aucune hési-tation, les valeurs et les vertus. C’est le chemin.
Sonia Theodoro da Silva
Traduction rédigé par Sophie Giusti.
(Publié en Janvier / Février 2013 dans les revues suivantes: The Journal of Psychological Studies - Science, Philosophy and Religion;Journal Psychologischer Studien - Wissenschaft, Philosophie und Religion; Periódico de Estudios Psicológicos - Ciencia, Filosofía y Religión; Giornale di Studi Psicologici - Scienza, Filosofia e Religione; Journal d´études psychologiques - Science, philosophie et religion).
Nous vous invitons à visiter le nouveau site www.filosofiaespirita.org
Faculté extra-sensorielle
L’Histoire retient les actes de ceux qui ont osé transgresser les systèmes en vigueur, qu’ils soient politiques, religieux ou académiques. Carl Gustav Jung fut un de ces divins transgresseurs: pour lui, la vie n'était pas délimitée par le berceau et le tombeau: « l’homme qui était un être rationnel, était doté de facultés extra-sensorielles qui lui per-mettaient de dépasser les li-mites de l'espace et du temps en découvrant le passé distant et en ayant des prémonitions sur le futur » (Bulletin SEI, no 1963/2005).
Les facultés extra-sensorielles étaient présentes dans les oracles grecs et baby-loniens (le plus fameux étant l’Oracle d’Apollon à Delphes), dans la civilisation judaïque avec le collège de médiums présidé par Moïse et avant cela, en Égypte, où le guide de la nation hébraïque avait appris avec les savants et les initiés de son temps à prophétiser, en dehors des autres modalités extra-sensorielles qui venaient s’ajouter à la médiumnité efficace dont il était porteur.
Plus récemment, le clairvoyant suédois Emmanuel Swedenborg fut étudié par l’éminent philosophe Emmanuel Kant qui était impressionné par la précision des informations qu’il avait fournies à propos d’un incendie qui s’était déroulé dans une ville proche et qu’il avait vu à distance.
La philosophie traditionnelle contemporaine s’intéresse peu au paranormal, mais c’est à la Science qu’échoit la responsabilité de dé-montrer ce que le spiritisme a si judicieusement étudié, au travers d'Allan Kardec qui confirmait par des faits la plus grande découverte de tous les temps : l’esprit humain survit à la mort. Cette justification entraînera certainement de graves conséquences pour le matérialisme nihiliste.
Sonia Theodoro da Silva
Traduction rédigé par Sophie Giusti.
(Publié en novembre/décembre 2012 dans les revues suivantes: The Journal of Psychological Studies - Science, Philosophy and Religion;Journal Psychologischer Studien - Wissenschaft, Philosophie und Religion; Periódico de Estudios Psicológicos - Ciencia, Filosofía y Religión; Giornale di Studi Psicologici - Scienza, Filosofia e Religione; Journal d´études psychologiques - Science, philosophie et religion).
Nous vous invitons à visiter le nouveau site www.filosofiaespirita.org
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